Espace presse

L’Ilet Caret est à la fois un pole d’attraction touristique et un site majeur du Grand cul de sac marin pour sa biodiversité. Ce banc de sable de 4 000m² présente à ce titre des enjeux réels de conservation. L’objectif est de concilier la valorisation de son potentiel touristique tout en préservant son patrimoine naturel.

En 1971, les nations unies, se sont entendues sur l’importance planétaire des zones humides, aussi bien en tant que siège de vie et de biodiversité mais aussi en raisons des services rendus à l’humanité.

La Convention a adopté une large définition des zones humides comprenant tous les lacs et cours d’eau, les aquifères souterrains, les marécages et marais, les prairies humides, les tourbières, les oasis, les estuaires, les deltas et étendues intertidales, les mangroves et autres zones côtières, les récifs coralliens et tous les sites artificiels tels que les étangs de pisciculture, les rizières, les retenues et les marais salés.

Suite à une vidéo de campeurs circulant sur les réseaux sociaux, le Parc national se doit de faire
un rappel à la réglementation.

En Guadeloupe, afin que les collaborateurs de l’entreprise soient totalement conscients de la portée de ce geste, il a été décidé qu’ils planteraient eux même les arbres. Et pour prendre la pleine mesure de ce geste hautement symbolique, la simple plantation s’est finalement transformée en semaine de l’environnement !

Outre des stands présents chaque jour de la semaine dans l’enceinte de l’entreprise, un partenariat fort a été noué avec le Parc national de la Guadeloupe sur le projet de reforestation de la forêt marécageuse.

L’arrêté d’autorisation d’activités professionnelles en coeur de parc national marin, lieu d’exception du patrimoine naturel guadeloupéen interroge les plongeurs. La photographie sous marine lors des plongées en clubs n’est pas autorisée, à des fins de préservation du patrimoine naturel Guadeloupéen.

Le site des chutes du Carbet est une des sites majeurs du Parc national de la Guadeloupe.

Avec plus de 200 000 visiteurs par an (année de référence 2019), elles constituent un des sites les plus fréquentés de notre archipel.

Ainsi, le Parc national de la Guadeloupe souhaite qu’un accueil de qualité soit réservé aux visiteurs.

Depuis 2007, diverses sociétés ont donc assuré cette mission pour le Parc national de la Guadeloupe.

Depuis le 1er juin 2021, une nouvelle société MARANATHA TOURS assure la gestion du site.

La rentrée fut particulière pour de nombreux élèves de Guadeloupe, afin de favoriser la cohésion des élèves de la 1ère section sport, le lycée organise en partenariat avec le Parc national une journée d’intégration mêlant découverte des patrimoines et course d’orientation.

En plein développement, les activités d’observation des cétacés dans les eaux guadeloupéennes font l’objet d’un cadre réglementaire précis.

Le plan régional de contrôle des pêches maritimes et de l’environnement marin (PRCPMEM) mis en œuvre par la Direction de la Mer sous l’autorité du Préfet de Guadeloupe a identifié cette pratique comme un enjeu environnemental important susceptible de perturber et de porter atteinte aux cétacés.

Les 17 et 18 avril 2021, en partenariat avec le Sanctuaire Agoa, le PNG a organisé deux journées de formation et de contrôle.

Ces deux journées avaient pour objectifs d’une part de compléter les connaissances des agents du Parc pour la reconnaissance des cétacés qui fréquentent les eaux guadeloupéenne, d’autre part de contrôler le respect des règles d’approche et d’observation des cétacés qui s’appliquent au sein du Sanctuaire Agoa

Un appel à projet pour l’environnement
Beaucoup d’entreprises et d’associations de Guadeloupe souhaitent se mobiliser pour la sauvegarde et la valorisation de nos patrimoines.
Cependant, nombre d’entre elles manquent aujourd’hui de moyens pour concrétiser leurs actions.
Le Parc national de la Guadeloupe, en tant que gestionnaire d’espaces naturels engagé dans le développement durable, a ainsi crée l’appel à projets « Laliwondaj » pour permettre à ces structures ancrées dans le tissu local de bénéficier de financements pour mener à bien leurs actions.

Les chutes de pierres en rivière sont communes dans nos cours d’eau. En effet, en raison de leur nature torrentielle, les chutes de pierre peuvent facilement survenir lorsque des crues surviennent en amont et que des roches sont charriées par la rivière.

De même, l’eau peut décrocher des petits blocs de pierre de la paroi, et même un petit caillou, arrivé en bas d’une chute d’une vingtaine de mètres représente un danger certain pour les baigneurs.

De manière générale donc, il faut toujours rester prudent dans nos cours d’eau, nos agents recommandent d’éviter de se baigner au pied de chutes de grande hauteur.